Êtes-vous prêt pour les vacances?


Ah, les vacances! On travaille toute l’année pour profiter de ces fameuses semaines de vacances (souvent trop courtes), mais au final les vacances ce n’est pas toujours reposant. Quand on pense avoir tout pensé, tout prévu… il reste encore un petit quelque chose! Nous vous proposons donc un «check list» de finance avant votre départ.

1- Le taux de change, y avez-vous pensé?                                                                                         Si vous restez au Canada, vous n’aurez pas à vous en préoccuper, mais dès que vous franchirez la frontière vous serez touché par le taux de change. Assurez-vous de mesurer l’effet du taux de change sur vos dépenses de voyages, car vous ne voulez pas de mauvaises surprises au retour!

2- Comptant, débit ou crédit?
En voyage, il est recommandé de disposer de plusieurs modes de paiement et de ne pas les garder au même endroit. Par ailleurs, si vous achetez des devises avant de partir vous éviterez des frais supplémentaires, mais vous devrez trimbaler des grosses sommes en liquide. Enfin, sachez que la majorité des cartes de crédit comportent des frais de conversion en plus du taux de change. Il peut valoir la peine de s’informer ! Autre point : avez-vous avisez votre émetteur avant de partir?

3- Le téléphone, est-ce que je dois l’apporter?
Certains d’entre nous ne peuvent se séparer de leur téléphone, même en vacances. Alors, il ne faut surtout pas oublier de prendre un forfait à l’étranger auprès de votre fournisseur, car votre facture de téléphone pourrait être salée.

4- Êtes-vous assuré?
Il existe plusieurs sortes d’assurances que l’on peut se procurer lors de voyage à l’étranger, mais celles que vous devriez sans aucun doute vous procurer est une assurance médicale. À l’étranger, les frais médicaux sont très élevés. Malheureusement, la carte soleil ne fonctionnera pas ailleurs.

5- Avez-vous vérifié votre passeport?
Malgré le fait qu’il existe une date d’expiration sur votre passeport, de nombreux pays vous refuseront l’entrée si votre passeport expire dans moins de six mois. Ce serait dommage de se faire «revirer» aux douanes!

Bon, maintenant que la liste est complétée, vous êtes fin prêt à partir. Enfin, vous êtes bien installé dans votre siège d’auto ou d’avion, mais... Avez-vous bien verrouillé la porte d'entrée avant de partir?

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Comment mieux gérer votre budget cet été!


Avec l’été qui arrive à grand pas, il est difficile de ne pas rêvasser à vos nombreux projets de vacances. Mais comment allez-vous faire pour bien gérer votre budget? Nous vous avons donc établi 5 étapes faciles pour vous aider à mieux gérer votre budget cet été. Et, qui sait? Vous pourriez peut-être y prendre goût et recommencer tout au long de l’année!

1- Pour commencer, vous devez évaluer vos avoirs. Ainsi, vous devez comptabiliser le montant que vous avez déjà épargné pour vos vacances. Vous pouvez également considérer les éléments qui seront utiles à vos vacances et que vous possédez déjà. Les frais engendrés par l’achat d’équipements nécessaires à vos projets de vacances sont non-négligeables.

2- Vous devez ensuite définir vos objectifs. Alors, il faudra détailler l’ensemble des activités que vous aurez prévu à l’horaire afin de connaitre le montant nécessaire à la réalisation de vos projets de vacances.

3- L’étape suivante consiste à faire vos prévisions budgétaires. La précision de l’étape précédente vous sera fort utile pour avoir des prévisions très représentatives de la réalité. Pour se faire, il faudra considérer les déplacements, l’hébergement, les diverses activités, l’achat de matériel nécessaires et toutes autres dépenses connexes.

4- Ensuite, vous devrez noter vos revenus et dépenses et ce, jusqu’au début de vos vacances. Cette étape peut sembler parcimonieuse, mais elle aide beaucoup à prendre conscience de l’argent qui sort ou qui entre dans vos poches. La notation, si bien réalisée, favorisera l’obtention d’un budget équilibré et permettra même d’épargner plus en vue de vos projets de vacances.

5- La dernière étape consiste à comparer les prévisions établies et la réalité. Il est bien de faire un budget, mais il faut également s’assurer que le processus a été efficace et que les actions ont engendrées une différence.

Enfin, vous pouvez cesser de rêvasser, les vacances sont éminentes et il n’est jamais trop tard pour commencer à gérer votre budget. Cette année, partez en vacances l’esprit tranquille!

 

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REER ou CELI ?


Alors que la période des REER est à nos portes, plusieurs se questionnent sur la meilleure solution d’épargne à adopter. Devrions-nous économiser dans un REER ou un CELI? Pour choisir, vous devez définir ce que vous désirez faire de votre épargne et à quel moment l’utiliserez-vous. Bien entendu, vous devez tenir compte de votre taux d’imposition, ce qui devrait normalement vous indiquer l’opportunité la plus avantageuse à adopter considérant votre situation financière. Observez les différences entre ces deux options.

Le Régime Enregistré d’Épargne Retraite (REER) est conçu dans l’objectif d’épargner pour… La retraite! Cependant, vous pouvez aussi l’utiliser pour financer un grand projet tel que l’achat d’une première maison ou un retour aux études. Les cotisations au REER viennent réduire votre revenu net de votre déclaration annuelle. Ainsi, chaque année vous pouvez y déposer jusqu’à un maximum de 18% de votre revenu. Votre cotisation aux REER sera déductible d’impôt ce qui vous fait profiter d’une économie immédiate. Votre argent fructifiera donc jusqu’à que vous décidiez de la retirer à votre retraite. À cet instant, les retraits seront imposés selon votre taux effectif d’imposition s’appliquant à votre situation financière du moment. Enfin, la date limite pour contribuer à votre REER est le 1er mars, dépêchez-vous!

Le Compte d’Épargne Libre d’Impôt (CÉLI) est conçu de façon à pouvoir retirer les sommes épargnées quand vous le désirez et ce, sans se soucier de l’impôt. Un CÉLI permet d’investir jusqu’à un maximum de 5500 $ par année dans un placement dont les rendements sont exempts d’impôt. D’ailleurs, le CÉLI peut être utilisé comme mise en garantie pour un prêt. La date limite de cotisation est établie au 31 décembre de chaque année.

Maintenant que vous connaissez la différence entre le CÉLI et le REER, votre conseiller en sécurité financière peut vous guider et vous aider à déterminer la solution adéquate et personnalisée à vos besoins. N’hésitez pas à le consulter! Et n’oubliez pas : Épargner TÔT peut vous aider à rapporter GROS!

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À chaque âge sa priorité financière!


Au fil du temps, nos objectifs de vie évoluent continuellement, au même titre que nos priorités financières. D’ailleurs, ces variations sont étroitement reliées à notre âge. Alors, voici un petit guide qui vous guidera à établir vos priorités en matière de finance.

La phase de démarrage – 20 à 30 ans
La première phase constitue généralement le début de notre carrière et où les choix que vous feront seront déterminants pour le développement de votre capital financier et humain. Vous investissez donc pour votre avenir avec de multiples formations et vous chérissez l’acquisition de compétences. Vous pourrez notamment rembourser graduellement vos dettes d’études et commencer à investir dans vos projets futurs et pour votre retraite. C’est lors de cette étape que vous vous bâtissez progressivement un historique de crédit.

La phase d’accélération – 30 à 40 ans
Lors de la deuxième phase, vous profitez d’une carrière stable, mais de nombreuses responsabilités peuvent s’ajouter à la liste. Vous devez alors vous assurer de garder un contrôle plus strict sur vos priorités. Pour vous aider dans vos démarches, chercher conseils auprès de votre planificateur financier vous aidera grandement dans vos démarches. Pensez à protéger vos actifs avec des assurances vie et placez la planification de votre retraite au centre de vos préoccupations. Et finalement, épargnez pour les études de vos enfants avec le REEE.

La phase d’accumulation – 40 à 60 ans
Dans la troisième phase, vous devez avoir accumulé un certain actif. Si vos objectifs fixés au départ semblent plus difficile à atteindre, vous devrez concentrer tous vos efforts d’épargne sur votre retraite. Pensez aussi à ajuster vos besoins financiers avec votre situation actuelle et à prévoir assurance salaire et invalidité pour protéger votre niveau de vie. Enfin, vous devriez laisser une place à la planification de votre succession pour assurer, entre autre, que vos biens soient répartis selon vos désirs.

Vers le décaissement – 60 ans et plus
Pour cette dernière phase, il faut prévoir que vos revenus proviendront progressivement de votre épargne et que votre retraite sera éminente. Une rencontre avec votre planificatrice financière vous sera utile pour obtenir des conseils sur la meilleure stratégie à adopter pour optimiser vos profits provenant du RPC, RRQ ou de la PSV. Finalement, assurez-vous de mettre à jour votre planification successorale selon les changements qui surviennent dans la période.

 

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Avez-vous planifié votre succession?


Avec les années, on s’aperçoit que le temps passe vite. Beaucoup trop vite. Bien souvent, la rapidité du quotidien nous fait oublier la nécessité de prévoir ce qu’il adviendra de nos proches à notre décès. D’ailleurs, plusieurs personnes sont réticentes à l’idée de devoir planifier leur départ, alors qu’il s’agit d’un aspect important de notre planification financière personnelle. Au Québec, plus de 50% de la population n’aurait pas fait leur testament.

En réalité, faire un testament ne sert pas seulement à laisser un héritage, même que l’on peut tirer divers bénéfices d’une bonne planification successorale. D’abord, vos démarches guiderons et faciliterons la vie de vos héritiers lorsque vous les aurez quittés. La planification permet non seulement de faire le point sur votre situation financière et familiale, mais aussi d’éviter les conflits qui pourraient survenir lors de la séparation de biens. De plus, prévoir permet d’adopter des stratégies pouvant aider à réduire l’impôt et les dépenses au minimum à votre décès. Ce qui permet donc de protéger l’héritage de vos bénéficiaires.

Par ailleurs, il n’est jamais trop tôt pour planifier notre succession. Personne ne peut savoir ce que l’avenir nous réserve, alors assurer notre tranquillité d’esprit reste le meilleur moyen de vivre pleinement l’instant présent. En plus, si entre temps un changement survenait de façon à ce que vous désiriez modifier votre succession, il sera d’autant plus simple d’y ajouter les quelques modifications. Il n’est donc pas nécessaire de recommencer le processus à chaque fois.

Afin d’assurer que votre succession soit planifié de façon optimale, vous devez considérer plusieurs éléments de la planification successorale. Est-ce que vous avez pensé à souscrire à une assurance vie? Préparé un mandat d’inaptitude? Exprimé vos volontés quant à vos funérailles? Enfin, il est important de consulter différent professionnels qui vous guiderons tout au long du processus et qui agiront à titre d’aide-mémoire pour chaque petit détail. Entre autre, le notaire qui vous aidera à rédiger votre testament. Un testament notarié permet de certifier l’authenticité des documents et facilite donc la procédure.

Pour finir, de nombreuses possibilités s’offrent à vous lorsque l’on parle de planification successorale. Il s’agit de bien définir vos objectifs, ce que vous voulez pour vos proches après votre départ pour trouver la solution qui vous convient. La responsabilité de votre planificateur financier est d’analyser votre situation, vous guider dans l’identification de vos objectifs et de vous proposer les meilleures solutions quant à votre succession. Laissez-le vous aider!

 

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L'argent ne pousse pas dans les arbres, sauf que...


J’aime beaucoup m’inspirer du quotidien pour créer mes articles. D’ailleurs, c’est lors d’une discussion entre amis que ce sujet est m’est venu. L’un d’entre eux nous a demandé : Qu’est-ce que vous feriez si vous gagniez un gros montant d’argent? Instantanément, nous avons tous eu des réponses semblables. Voyager, acheter une plus grande maison ou une plus belle voiture. Enfin, on voulait se payer du luxe.

À ce moment, j’ai pensé au fameux slogan de la Lotto6/49 « ça change pas le monde, sauf que…». Sauf que ça change une vie! Tant positivement que négativement. Soit parce qu’une multitude d’opportunités et de projets peuvent soudainement s’offrir à vous. Soit parce que gagner ou recevoir beaucoup d’argent peut transformer les relations avec votre famille, vos amis, voir même vos collègues. Il peut occasionner des situations de jalousie et d’animosité et il faudra apprendre à vivre avec ces nouveaux défis. Enfin, le plus important pour ces grands chanceux, est de trouver un conseiller de confiance qui soit capable de les aider à prendre les bonnes décisions.

Alors, voici quelques conseils aux chanceux qui auront, au cours de leur vie, l’occasion de recevoir une somme d’argent importante tel qu’un héritage ou un gain de loterie. D’abord, il faut penser à payer nos dettes personnelles ou de les consolider en un seul prêt. Ensuite, l’achat de certaines dépenses, si nécessaire, comme électroménagers ou voitures peuvent être effectuées. D’ailleurs, il serait idéal de vous constituer un fonds d’urgence. Il serait aussi possible de maximiser les REEE de vos enfants, vos CELI et vos REER. Puis, pour ne pas causer de frictions avec certains membres de la famille, éviter de donner de gros montant à vos proches. Trouvez une autre façon de « gâter » votre famille, sans créer de situation propice aux animosités. Enfin, sachez qu’un million de dollars c’est beaucoup d’argent, mais c’est loin d’être suffisant pour arrêter de travailler.

Finalement, il est important de savoir que ces conseils sont inscrits à titre informatif seulement. Personne ne voudrait être identifié comme la prochaine famille Lavigueur. Alors, la première étape à faire lors d’un gain considérable est de prendre rendez-vous avec votre planificatrice financière, afin de prévoir une stratégie qui conviendrait à vos besoins.

 

 

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Témoignage: Quand la maladie frappe...


Il n’est pas rare d’entendre que le cancer est la maladie du 21e siècle. Les statistiques révèlent même que près de la moitié des canadiens recevront un diagnostic de cancer à un certain moment de leur vie. Comme cette maladie nous concerne tous, de près ou de loin, nous avons rencontré une cliente, survivante du cancer, qui nous a confié son expérience. Nous espérons par cette démarche, que son histoire vous inspirera autant qu’elle l’a fait pour nous. Par respect, nous conserverons son identité anonyme.

Le cancer. Il apparait soudainement, sans crier garde et il frappe. Il frappe tel un coup dans le ventre. Il vient suspendre tes projets, tes ambitions, tes rêves. Il arrive et met littéralement ta vie sur pause. Pour sa part, la vie se déroulait à merveille. Elle avait un emploi stable, deux beaux enfants et un troisième en devenir. Leur nouvelle demeure était en pleine construction lorsque que le diagnostic tomba, en 2011: Un cancer Hodgkin de stade 4. Cette maladie est un cancer du système lymphatique qui se manifeste par une augmentation du volume des ganglions. Même si elle est à un stade avancé de la maladie, son médecin la rassure en lui disant que ce type de cancer a un bon pronostique quant à la guérison. Cependant, une mauvaise nouvelle en amena une autre, elle dû faire une interruption de grossesse pour augmenter ses chances de rémission. Le coup était dur pour la jeune famille, mais il n’était pas question de vivre dans la peur.

Il existe plusieurs aspects de la maladie que nous abordons beaucoup moins, tel que l’aspect financier. En effet, la situation financière peut devenir une source de stress inutile et supplémentaire lorsque nous sommes atteints d’une maladie grave. Dans ces situations, l’importance de souscrire à une bonne assurance prend tout son sens. Heureusement pour la jeune famille, le combat contre la maladie s’est déroulé sans se soucier de manquer d’argent pour payer l’hypothèque ou pour subvenir aux besoins de leurs enfants en bas âge. Ils avaient contracté, entre autre, une assurance hypothécaire et une assurance salaire longue durée, contribuant à leur tranquillité d’esprit et aidant la mère de famille à se concentrer sur sa rémission.

Ainsi, avec beaucoup d’espoir de rétablissement, elle entama ses traitements de chimiothérapie. Elle s’est battue pendant plus de 22 mois avec l’espoir de voir ses enfants grandir, de vieillir près de son conjoint, de pouvoir, enfin, entendre le médecin lui annoncer sa rémission. Aujourd’hui, ils vivent paisiblement dans la maison de leurs rêves, avec leurs quatre enfants. Ils font en sorte de profiter de chaque instant.

 




Le Bitcoin, top ou flop?


Le Bitcoin, vous connaissez?! En deux mots, c’est une monnaie virtuelle.

Jusqu’à maintenant, le Bitcoin ne fait pas l’unanimité. Plusieurs la décrive comme une escroquerie surtout utilisée sur le « dark web ». Il ne va sans dire que le Bitcoin repose sur un réseau de particulier à particulier et ne possède aucune autorité centrale, dont le gouvernement, la banque central ou toute autre institution financière.

 

Les monnaies virtuelles peuvent se gagner ou s’acheter.

L’émission et la gestion des monnaies virtuelles se font par l’intermédiaire d’algorithmes uniques et complexes à code source ouvert (open source). Ces algorithmes sont définis par des individus, appelés « mineurs », grâce à des ordinateurs puissants et sophistiqués. En échange de leurs services, les mineurs reçoivent gratuitement des unités monétaires virtuelles qui pourront être échangées. Tout autre individu ne participant pas à ces activités de « minage » et désirant se procurer de la monnaie virtuelle doit l’acheter.

 

Une cryptomonnaie est caractérisée par deux clés :

  • La première clé est « publique ». Elle certifie l’existence et l’unicité de l’unité de monnaie virtuelle;

  • La deuxième clé est « privée ». Elle équivaut à un code secret que le propriétaire entrepose dans son portefeuille électronique.

Une fois le portefeuille électronique constitué à l’aide de logiciels ou de plateformes destinés à ce type d’échange, les utilisateurs peuvent procéder à l’achat de biens ou de services, ainsi qu’à l’échange ou au transfert de monnaie virtuelle. Ces types de transactions se font de manière pseudo-anonyme grâce aux clés utilisées.

Et vous, qu’en pensez-vous?!

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Travailleur autonome: Mode d'emploi


Travailler à son compte est bien différent d'être un employé salarié. Mais savez-vous qu'est-ce qui différencie les deux statuts? D'abord, il faut savoir qu'au Canada il existe 2 769 700 travailleurs autonomes, ce qui représente 15% de tous les travailleurs. D'ailleurs, plus de la moitié de ces travailleurs autonomes sont des femmes. Cependant, comme chaque emploi, être à son compte comporte son lot d'avantages… et d'inconvénients.

Alors, voici quelques-uns des aspects du travailleur autonome qui feraient envier tous les salariés. Pour commencer, celui qui travaille à son compte peut déduire ses dépenses de son impôt personnel et il peut contrôler ses conditions de travail. Il peut donc déterminer son horaire de travail et travailler de son domicile. Ensuite, il peut s'accorder des congés quand bon lui semble. Il peut refuser du travail, accepter d'autres contrats et même faire de la sous-traitance. Et, sans oublier, le travailleur autonome est son propre patron.

Cependant, si l'on observe l'envers de la médaille, on constate qu'il doit, entre autre, faire des investissements de capital afin d'offrir ses services et accepter un risque financier plus élevé. Le travailleur autonome n'a pas d'avantages sociaux et doit compter sur un revenu souvent irrégulier. D'ailleurs, le revenu médian du ménage d'un employé rémunéré (72 800$) est plus élevé que celui du travailleur autonome (58 800$).

Enfin, pour savoir si le statut de travailleur autonome est fait pour vous ou pas, prenez le temps de peser le pour et le contre, selon vos attentes. Et si vous n'arrivez pas à vous décider, n'hésitez pas à obtenir conseils auprès de votre conseiller financier.

 

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J'attends encore la semaine des 4 jeudis!


Tout le monde rêve de cette fameuse semaine des quatre jeudis. Et certain beaucoup plus que d’autres… En effet, boucler son budget semble bien difficile pour beaucoup de Canadiens, surtout lorsque arrivent les factures d’électricité, d’Internet et de crédit. Et quand il ne te reste plus un sous, comment on fait pour rembourser? Encore du crédit, emprunt ou vente de biens. Mais je n’en peux plus, comment on fait pour sortir de ce cercle vicieux?

Au Canada, près de la moitié de la population dépenses la totalité de leur paie et attendent la suivante impatiemment. Étonnamment, il semblerait que cette situation ne dépende pas du revenu de la personne, mais plutôt d’un manque de planification. D’ailleurs, deux problèmes consisteraient à envenimer cette situation: l’endettement et le train de vie.

Au dernier trimestre de 2016, l’endettement des ménages canadiens par rapport au revenu disponible a atteint un record de 167.3%. Ce qui signifie que pour chaque dollar gagné, ils doivent rembourser 1,67$. D’autant plus que les ménages canadiens vivraient souvent au-dessus de leurs moyens. Ils miseraient sur des rentrées d’argent plus tard pour justifier leurs dépenses d’aujourd’hui.

Heureusement, il existe toujours des solutions aux problèmes, il s’agit seulement de trouver celles qui correspondront à nos besoins. Alors, voici quelques-unes qui pourraient vous inspirer.

Faire un budget : Et oui, le budget est à la base de toute économie. Il ne faut pas avoir peur d’établir précisément à quelles dépenses votre paie est attribuée. Vous pouvez simplement utiliser le service en ligne offert par votre institution financière pour en avoir le cœur net. Et puis, après analyse, combien de vos dépenses étaient superflues?

Mettre l’épargne à l’avant-plan : Se payer soi-même en premier est un principe bien connu en finances personnelles. Il consiste à considérer l’épargne comme une dépense comme les autres, mais en réglant cette dépense à les autres. 

Investir : Tant qu’à épargner, pourquoi pas faire travailler cet argent? Le REER, le CELI ou REEE, il existe de nombreuses façons d’investir et bien entendu, votre conseiller financier peut vous guider dans toutes vos démarches.

Enfin, il existe aussi de nombreux petits trucs du quotidien qui pourraient aussi vous aider à ne plus brûler la chandelle pas les deux bouts. Comme dire non aux tentations, éviter les achats impulsifs, faire vos travaux domestiques vous-même… Et j’en passe.

 

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La face cachée du stress


Le stress, tel un vieil ami, nous suit dans plusieurs facettes de notre vie. Le travail surtout, mais aussi les finances, la famille et le temps sont des facteurs causant le stress. Quatre facteurs qui ont une haute importance dans la vie de chacun et dont on ne peut ignorer. Cependant, devrait-on se demander si de telles obligations ont un coût? OUI!

Il est vrai que de nombreuses solutions aux effets négatifs du stress sont à notre disposition. Sont-elles vraiment efficientes pour tout le monde? Sont-elles vraiment utilisées? On l’espère, mais il reste que plusieurs personnes sont touchées par les effets du stress tels que l’anxiété, la dépression, les migraines, l’insomnie, les maladies cardiaques, voire même le vieillissement accéléré.

Par ailleurs, sur le marché du travail, les répercussions du stress sont tout aussi considérables. Il faut savoir que le travail représente la première source de stress pour près de 62% de la population. En effet, le stress coûte au-delà de 20,7 milliards de dollars chaque année pour les coûts relatifs à l’absentéisme au travail.

Voici quelques petites astuces qui pourraient être utiles pour prévenir ou atténuer les effets du stress au travail :
- Mieux gérer son temps
- Adopter de saines habitudes de vie et apprendre à RELAXER
- Rechercher l’équilibre en dehors du travail, socialiser d’avantage
- Adhérer aux programmes d’aides aux employés offerts par votre employeur
- Envisager d’ajouter une protection santé ou invalidité à ses assurances personnelles.

Bien entendu, ces trucs peuvent sembler beaucoup plus faciles à écrire qu’à faire. N’hésitez pas à rechercher l’aide professionnelle nécessaire rapidement devant un stress extrême.

 

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Ouch! Maman, j'ai mal


La vie de parents est sans aucun doute riche en émotions. En une fraction de seconde, ce qui pouvait sembler amusant aux yeux des enfants, se transforme en un gros bobo. Pendant ce temps les parents, eux, s’inquiètent constamment et voit le danger un peu partout… Et avec raison! On en entend des histoires d’horreur un peu partout et on ne voudrait surtout pas que nos petits cascadeurs se blessent.

Pourtant, malgré toute les précautions imaginables que nous avons prises, le risque zéro n’existe pas. Il est possible qu’un accident, petit ou gros, survienne. Ce qui soulève une autre question : que feriez-vous si votre enfant se blessait sérieusement lors d’une activité ? Dans la plupart des cas, il en résultera un congé forcé pour l’un des deux parents, qui s’absentera du travail pour prendre soin de l’enfant.

Bien qu’on ait tendance à l’oublier, certaines solutions d’assurance peuvent s’avérer utiles dans de telles circonstances, à commencer par l’assurance vie. Il n’est pas rare que les parents soient rebutés par la perspective de contracter une assurance vie pour leur enfant. Il faut cependant savoir que ce type d’assurance comporte aussi, généralement, des avenants couvrant certaines blessures graves. Alors, dans une telle situation, l’indemnité pourrait atténuer le inconvénient pour le parent qui doit s’absenter du travail, ou encore le coût de soins spécialisés ou de transport adapté. Et si le pire devait arriver, l’indemnité pourrait aussi contribuer à stabiliser la situation de la famille dans cette période de crise. Enfin, une assurance vie prise tôt dans la vie d’une personne peut protéger son assurabilité future.

En revanche, si votre enfant devait être victime d’une maladie grave, vous pourriez trouver avantageux de bénéficier de la protection d’une assurance maladie grave. Son principe est simple : sur diagnostic d’une des maladies couvertes par la police, l’assureur verse aux parents le montant forfaitaire prévu au contrat. Les parents peuvent l’utiliser pour faire face aux coûts imprévus liés à la maladie de l’enfant.

Finalement, les besoins en matière d’assurance et les points de vue face à ce type de protection ne sont pas les mêmes pour toutes les familles. Néanmoins, ce pourrait être une bonne idée de réfléchir à la question cet été… entre une balade en vélo et un saut dans la piscine !

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Un été sans se ruiner


Avec le beau temps que nous avons eu dernièrement, on peut facilement apercevoir l’arrivée de l’été. D’ailleurs, qui dit été, dit dépenses! Plusieurs études démontrent que la saison estivale peut représenter une grande source de stress en matière de finance personnelle. En effet, les canadiens dépenseraient en moyenne plus de 7000 $ par personne, chaque année, seulement pour les dépenses estivales!

Ajoutons à cela les dépenses supplémentaires pour envoyer vos enfants dans un camp de vacances, ce qui peut couter jusqu’à 150 $ par jour pour un service complet. Alors, comment faire pour que vos enfants et vous passiez de belles vacances et ce, sans trop ruiner votre budget?

D’abord, il faut investir un peu de votre temps à comparer les différentes offres et prix sur le marché. Pour trouver le meilleur camp pour vos enfants, le site de l’Association des camps du Canada regroupe quelque 800 camps qui peuvent s’adapter à votre budget et aux besoins de vos enfants. Ensuite, établissez un petit montant à investir à cet effet chaque semaine, tout au long de l'année. Finalement, de nombreux camps offrent des programmes d’aide financière aux parents aux revenus modestes. Comme quoi aujourd’hui tous les enfants peuvent avoir la chance de participer à un camp d’été.

D’ailleurs, il faut voir les camps de vacances comme un investissement pour vos enfants, non pas une dépense. Les recherches scientifiques tendent même à prouver que ces camps sont bénéfiques pour les enfants puisqu’ils nouent des amitiés plus facilement, sont plus autonomes et sont plus enclins aux activités physiques. Certains parents relient même apprentissage et plaisir en envoyant leurs enfants dans des camps anglophones. Quel bel investissement! Ce qui est sûr, c’est que vos enfants en reviendront changé et vous, reposé.

 

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Quand la transaction tourne mal...


Le printemps est décidément une saison de changement. Changement de saison, changement de température et parfois même changement de maison. En effet, le printemps est la saison propice aux déménagements. Alors que pour certain cette « aventure » peut être une idylle... pour d'autre elle peut rapidement tourner au cauchemar et ce, pour le vendeur comme pour l'acheteur.

Imaginez, par exemple, que peu de temps après la vente de votre maison, voir même quelques années, votre acheteur découvre une importante infiltration dans le solage. Peut-il exiger un dédommagement de votre part?
Et bien, ça dépend... Dans quelle province vivez-vous?

Dans la majorité des provinces le principe qui s'applique à ce type de problème est celui du « caveat emptor », signifiant: Attention, acheteur. Il stipule donc qu'il est de la responsabilité de l'acheteur d'être aussi vigilent que possible afin de repérer tout problème visible ou caché par une inspection détaillée. Règle générale, devant un vice découvert après l'achat, l'acheteur n'aura de recours contre le vendeur que s'il peut prouver que ce dernier a commis un acte frauduleux en tentant de le dissimuler.

Au Québec, c'est le code civil qui établit la responsabilité du vendeur. Autrement dit, pour qu'un recours soit entrepris contre le vendeur, le vice ne doit pas être apparent au moment de la vente et inconnu de l'acheteur, il doit être antérieur à l'achat et bien entendu causer un préjudice tel que s'il en avait eu connaissance, l'acheteur n'aurait pas acheté l'immeuble à ce prix. Ainsi, un solage fissuré pourrait être un vice de désuétude mais, si l'acheteur prouve que le vice est antérieur à la vente, le vendeur pourrait être tenu d'honorer sa garantie de qualité, peu importe le nombre d'années écoulées depuis la transaction.

Pour prendre un maximum de précautions contre ce genre de mauvaises surprises, il est recommandé de consigner l'information relative à l'état de la maison et de faire affaire avec un inspecteur couvert par une assurance-responsabilité. D'ailleurs, au Québec, un particulier qui n'est pas un vendeur professionnel peut limiter sa responsabilité face à l'acheteur en ajoutant une clause de non garantie légale au contrat.

Malgré toutes les précautions, il n'est pas rare que l'acheteur doive revenir contre le vendeur. Engendrant souvent une diminution du prix de l'immeuble, le remboursement de certaines rénovations ou même par l'annulation complète de la vente. La bonne nouvelle, c'est qu'environ 90% des cas de vices cachées se règlent à l'amiable, ce qui limite au moins les frais juridiques.

Bref, en matière d'immobilier, la vilgilence et la transparence sont de bonnes vertus... pas des vices!

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Budget fédéral: que devez-vous retenir?


Le 22 mars dernier, un an jour pour jour après la présentation de son premier, le ministre fédéral des Finances a déposé son deuxième budget.

Le budget déposé cette semaine par le ministre fédéral des Finances, Bill Morneau, s’inscrit dans la continuité de celui déposé le 22 mars 2016. Il maintient notamment le recours aux déficits annuels par le gouvernement fédéral, sur un horizon de plusieurs années.

À la différence du budget 2016-2017, cependant, il ne contient pas de mesures spectaculaires comme l’Allocation canadienne pour enfants ni de grands changements à l’impôt des particuliers. Cela ne signifie pas pour autant qu’il n’aura pas d’effet sur nos finances personnelles…

Voici 10 idées à retenir.

D'abord une nouvelle qui n’en est pas une : les propriétaires de résidences secondaires ou d’immeubles à revenus, les investisseurs et les entrepreneurs qui craignaient un changement à l’impôt sur les gains en capital peuvent respirer. Le budget ne vient rien modifier à cet égard. En revanche, les propriétaires de PME qui espéraient un allégement de leurs impôts devront attendre au moins une autre année.

Ensuite, une nouvelle qui pourrait avoir un effet concret pour les personnes travaillant dans les secteurs concernés. Le gouvernement lance son Plan pour l’innovation et les compétences, qui vise six domaines principaux : les industries numériques, les technologies propres, l’agroalimentaire, la fabrication de pointe, les sciences biologiques et de la santé, et les ressources propres. Parmi les objectifs : doubler le nombre d'entreprises à forte croissance au Canada, surtout dans l'industrie numérique, les technologies propres et les technologies de la santé. Si vous êtes dans ces secteurs, vous voudrez peut-être vous renseigner à ce sujet.

Nouveauté importante pour les parents canadiens: le budget rendra plus souples les prestations parentales d’assurance-emploi (qui s’appliquent à toutes les provinces sauf le Québec, celui-ci disposant de son propre régime). Les parents pourront désormais toucher des prestations parentales d'assurance-emploi pendant une période prolongée pouvant atteindre 18 mois, à un taux de prestation fixé à 33 % de la rémunération hebdomadaire moyenne. Les prestations parentales d'assurance-emploi continueront d'être offertes au taux de prestation actuel de 55 % au cours d'une période pouvant atteindre 12 mois.

Deux nouvelles d’intérêt pour les personnes qui prennent soin d’un proche gravement malade. D’abord, le gouvernement crée une nouvelle prestation d'assurance-emploi pour proches aidants d'une durée maximale de 15 semaines. Cette prestation visera des particuliers offrant des soins à un membre adulte de la famille. Quant à eux, les parents d'enfants gravement malades continueront d'avoir accès à des prestations allant jusqu’à 35 semaines. Ensuite, le gouvernement met en place le crédit canadien pour aidant naturel, qui vient remplacer trois crédits d’impôt existants. Le crédit sera disponible à compter de l’année d’imposition 2017 et le montant maximal admissible sera de 6 883 $ ou de 2 150 $ selon le type de personne à charge ayant une déficience.

Vous envisagez d’acquérir de nouvelles compétences pour développer ou réorienter votre carrière ? Les critères d’admissibilité au crédit d'impôt pour frais de scolarité seront élargis à des cours axés sur les compétences professionnelles qui ne sont pas de niveau secondaire.

Si vous êtes un usager du transport en commun, sachez que le crédit d’impôt pour le transport en commun, qui pouvait représenter jusqu’à 200 $ par année, sera aboli en juin. Notez que vous pourrez néanmoins réclamer ce crédit pour les six premiers mois de 2017.

Vous êtes amateur de bons vins ? Une augmentation de la taxe d’accise sur l’alcool est entrée en vigueur dès le lendemain du budget. À 0,01 $ en moyenne par litre de vin, elle ne devrait cependant pas vous forcer à vous priver de votre plaisir. Et si vous êtes fumeur, sachez que 200 cigarettes vous coûtent désormais 0,53 $ de plus.

Le coût du logement étant une préoccupation pour plusieurs citoyens canadiens, le gouvernement a annoncé la création d’un Fonds national pour le logement, d’un montant de cinq milliards de dollars sur 11 ans. Administré par la SCHL, ce fonds appuiera notamment les innovations en matière de logement abordable.

Petite mesure discrète mais qui pourrait avoir un effet fiscal pour vous si vous êtes comptable, dentiste, avocat, médecin, vétérinaire ou chiropraticien. Le gouvernement n’autorise plus le recours à la comptabilité fondée sur la facturation, qui vous permettait de reporter à l’année suivante des revenus liés à des travaux en cours. Si vous êtes concerné, une discussion avec votre conseiller pourrait donc s’imposer.

Enfin, pour conclure sur une note nostalgique, si vous aimiez recourir aux Obligations d’épargne du Canada comme véhicule d’épargne, préparez-vous à une petite peine d’amour. Ce produit financier créé en 1946 sera graduellement éliminé en raison de son attrait décroissant. En fait, le gouvernement cessera de vendre de nouvelles obligations d’épargne dès cette année.

C’est tout ? Loin de là. Le site consacré au budget par le gouvernement fédéral n’est pas nécessairement une lecture de chevet… mais vous y trouverez réponse à toutes vos questions !

 

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Donner sans compter?


En 2013, plus de 82% de la population canadienne avait fait un ou plusieurs dons de charité, versant en moyenne 531$ par année. Malheureusement, malgré les nombreux avantages qu’apporte le fait de donner, il semble que cet élan de générosité soit à la baisse.

Œuvrant pour la Fondation Veilleux et filles, nous savons combien vos dons sont importants pour de nombreuses personnes dans le besoin. Ainsi, nous avons pensé souligner les bienfaits du don, tant pour votre propre situation financière que pour la communauté.

D’abord, vous pouvez maximiser votre crédit d’impôt grâce aux dons. En effet, les gouvernements fédéral et provinciaux récompensent les donateurs par d’intéressantes économies d’impôt. Ainsi, les crédits fédéraux et provinciaux combinés peuvent s’élever jusqu’à environ 25 % sur la première tranche de 200 $ et 45 % sur l’excédent. D’ailleurs, les couples ont la possibilité de regrouper leurs dons sur une seule déclaration pour maximiser le crédit d’impôt.

Il faut savoir que les dons peuvent prendre plusieurs formes, sans nécessairement être fait en espèce. Par exemple les dons de police d’assurance vie qui, si l’organisme est désigné bénéficiaire et titulaire, vous fait profiter d’un allègement fiscal de votre vivant. Il existe aussi le don de titres de placement qui procure au donateur un crédit fiscal d’un montant équivalant à la juste valeur marchande des titres au moment où l’organisme les reçoit, jusqu’à concurrence de 75 % de votre revenu net.

Enfin, en plus de certain crédit d'impôts, les dons procurent sans aucun doute un sentiment satisfaisant d’entraide et de solidarité. Plusieurs organismes tendent même à organiser des évènements pour amasser des fonds, espérant redonner aux donateurs. Ainsi, on peut donner et profiter de notre don par la même occasion.

Jusqu’à présent, la fondation Veilleux et filles ne peut donner de crédit d’impôt à ses donateurs, mais nous espérons que ce jour arrivera sous peu. En attendant, vous pouvez toujours participer à nos activités comme le tournoi de baseball du 17 juin, le MégaYoga du 19 août et le V-Stylé du 14 octobre!

Soyez à l’affut pour les inscriptions et surtout, donnez généreusement !




À la conquête de son chez soi!


C’est bien connu, le printemps est propice aux déménagements. Tout l’hiver durant, vous vous êtes plaint de votre inconfort, vous rêviez de plus grand, de plus neuf, de plus pratique, de plus tout. Vous avez parcouru tous les journaux, sites ou agences imaginables afin de trouver votre future demeure… et vous avez enfin trouvé la perle rare! Enfin, vous allez déménager, mais déménager c’est excitant, stressant et parfois souffrant pour le portefeuille.

Malheureusement, il y a des coûts reliés au déménagement outre l’achat de la dite maison et du transport des meubles, et il ne faut surtout pas les oublier, ces frais. Alors, pour mieux prévoir votre budget, nous vous présentons 7 frais non-négligeables lors d’un déménagement.

Les frais d’évaluation: Il se peut que votre institution financière vous demande une évaluation de la propriété afin de confirmer la valeur marchande.

Les frais d’inspection: Il est important d’engager un inspecteur en bâtiment afin de déceler tous vices cachés. Ce frais vous évitera des mauvaises surprises qui pourraient vous coûter bien plus cher!

Les frais du notaire: Pour toute transaction immobilière, vous devez faire affaire avec un juriste. Alors si vous voulez diminuer la facture vous avez tout à fait le droit de magasiner votre notaire.

Les taxes: Avez-vous déjà entendu parler de la fameuse taxe de bienvenue? Elle varie en fonction de la municipalité et de la valeur de la maison.

Les rénovations: Vous avez beau avoir trouvé la perle rare, vous allez probablement vouloir peinturer certaines pièces et effectuer quelques améliorations afin de personnaliser la maison.

Achats de meubles: Il se peut que vous deviez acheter de nouveaux meubles, particulièrement lorsque vous déménagez dans plus grand.

Le branchement pour l’électricité, le câble et le téléphone: Et bien oui ! Sachez que vous devrez payer pour obtenir un branchement à ces services même si vous y êtes déjà abonnés.

Finalement, la somme totale de ces frais aberrants peut être très variable pour chacun. Par ailleurs, pour économiser, certains empruntent le petit camion de leur oncle et lancent un appel à tous leurs amis pour un peu d'aide. Tandis que d’autres se demandent: Vendre ou rénover?

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Comment avoir les fraudeurs à l’œil?


Vous avez certainement remarqué que dernièrement les fraudeurs semblent se multiplier. Vols de codes d’accès bancaires, vol d’identité, piratage des appareils électroniques, détournement d’actifs financier… On se croirait menacé de partout! Et bien vous avez raison, la fraude financière est devenue un phénomène à grande échelle.

Toutefois, il faut savoir que la fraude n’est pas née d’hier! Les fraudeurs étaient appelés des charlatans et faisaient fortune grâce à la crédulité publique. Aujourd’hui, ces charlatans sont toujours omniprésents, sans compter que les technologies numériques ont rendu la fraude encore plus malfaisante.

Sans devenir paranoïaque, il est important de savoir d’où peuvent provenir les tentatives de fraudes pour mieux les contrer. Toutes les menaces peuvent être facile à prévenir, mais avez-vous pensez à toutes les façons dont elles peuvent se manifester? Avez-vous pensez que les fraudeurs peuvent eux aussi, faire preuve d’originalité? Avez-vous pensez qu’un fraudeur pouvait se déguiser en conseiller financier? Alors, voici quelques astuces pour détecter ces charlatans de la finance.

1- Interrogez-vous à savoir si la personne qui vous offre le placement est autorisée à vous le vendre. Pour en avoir le cœur net, consultez le Registre des entreprises et des individus autorisés à exercer.

2- Assurez-vous que l’on vous remette de l’information complète et écrite sur le placement.

3- Interrogez-vous si le placement que l’on vous offre semble être trop beau pour être vrai.

4- Méfiez-vous de plus belle lorsque l’on vous présente un produit d’une de ces façons :

• J'ai une source fiable, la valeur de ce placement fera un bond vertigineux. C’est garanti.
• La société va être cotée en Bourse bientôt.
• Vous devez absolument investir aujourd’hui : demain, ce sera trop tard.
• Tous mes clients ont déjà investi dans ce placement.

5- Si vous sentez que le comportement de la personne ne correspond pas à celui d’un conseiller financier, notamment parce qu’il :

• Refuse de dire pour quelle firme elle travaille ou tente de changer de sujet après vous avoir donné très peu d’information.
• Vous demande de garder le secret.
• Vous affirme qu’un organisme de réglementation a «approuvé» un placement.
• Fait pression sur vous pour que vous investissiez dans le placement proposé.

Finalement, si vous croyez qu’il y a un risque de fraude n’hésitez pas à communiquer avec le centre d’information de l’Autorité du marché financier. Vous pourrez vous éviter bien des malheurs, à vous et aux autres épargnants!

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Comment transformer un dépensier en épargnant?


Rome ne s’est décidément pas construit en un seul jour, pourtant il faut bien commencer quelque part, non? Alors, par quel chemin faut-il passer pour devenir un épargnant digne de ce nom? Voici quelques simples astuces qui pourraient transformer n’importe quel dépensier en épargnant.

D’abord, il faut commencer par les petites choses du quotidien. Vous seul connaissez mieux vos habitudes des vies, mais prenons une situation qui toucherait la majorité d’entre nous, épargnant ou pas. Le café du matin par exemple. Vous aimez vous rendre au travail avec un café à la main, pensez plutôt à investir dans une belle tasse de café portative et préparez votre café à la maison. Combien on y gagne? 480$ par année! (2$ x 5 jours x 48 semaines de travail).

Cet exemple semble banal, mais appliquez-le aussi pour les lunchs, les bouteilles d’eau ou toutes autres dépenses que vous avez l’habitude de faire et un bon montant restera dans vos poches à la fin de l’année. Pour vous aider à créer de nouvelles habitudes, prenez le temps de vous poser la question s'il s'agit d'un BESOIN ou d'un DÉSIR lorsque vous acheter quelque chose. Ainsi, vous pourrez tenter de réduire le nombre de désirs par semaine. 

Ensuite, pensez à économiser lors de vos activités… Et oui, il est possible d’économiser en dépensant! Épargner ne veux pas nécessairement dire de se priver, au contraire il s’agit plutôt de se gâter… à bas prix. De nombreux sites ou applications sont disponibles aujourd’hui, comme Tuango et Promo du jour, offrant une multitude d’activités à rabais. Vraiment, il en a pour tous les goûts!

D’ailleurs, tentez de réduire, voire éliminer tous les frais inutiles. Il ne faut pas penser qu’on n’en a pas, puisque sans le savoir, et malheureusement, il est facile de «jeter un peu d’argent par les fenêtres». Par exemple, la ligne fixe de téléphone, alors que tous les membres de votre famille ont un cellulaire. Et pourquoi ne pas vendre les biens que vous n’utilisez plus? Enfin, demandez-vous toujours si vous en avez réellement besoin avant de faire un achat. S’il y a hésitation, c’est que vous pouvez définitivement vous en passer!

Finalement, pour vous aider à épargner, il est toujours important de vous fixer des objectifs faciles à atteindre. Et le tour est joué!

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Célibataire ou amoureux… Lequel est le plus coûteux?


En cette journée de la st-valentin, nous tentons de résoudre une question : Est-ce plus cher de vivre seul ou de vivre à deux? Attention messieurs, ce message s’adresse surtout à vous! Vous qui trouvez que votre blonde vous coûte cher… Et bien consolez-vous en sachant maintenant que de vivre avec elle vous rend plus riche que si vous étiez célibataire!

Et oui, vivre seul coûterait en moyenne 20% de plus que de vivre en couple. Pensez à l’hypothèque, l’entretien, les voitures, l’épicerie… Ce sont toutes des dépenses qui représentent des sommes élevées, surtout lorsqu’on ne peut les partager. De plus, les célibataires ressentent généralement moins de pression pour mettre de l’argent de côté. Alors que les couples, ont une discipline d’épargne plus stricte sachant que les décisions prises auront un impact sur toute la famille. Sans oublier, que la capacité d’épargne qui peut être augmentée en combinant les ressources entre conjoints.

Toutefois, il ne faut pas croire que la vie des célibataires est sans avantage financier. Les couples, par exemple, font face à des obligations légales que n’ont pas les personnes seules et qui peuvent faire dérailler, sans remords, un plan financier.

Surtout, sachez que les célibataires ne sont pas si seuls, puisqu’ils ne sont pas moins de 11,8 millions, au Canada, à vivre en solo. Alors, n’ayez crainte si vous n’avez pas encore trouvé votre douce moitié, peut-être que Cupidon frappera pour vous aussi en ce 14 février!

Finalement, la seule conclusion qui s’impose, en ce mois de St-Valentin, mais surtout en cette saison des REER et bientôt de l’impôt, c’est que les réalités financières des couples et des célibataires peuvent être fort différentes, et que chacune exige une approche financière personnalisée.

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Les cinq péchés capitaux de l'investisseur


Alors que le mois de février vient tout juste de débuter, nous avons quelques rappels pratiques pour poursuivre 2017. Ce n’est plus un secret pour personne, les marchés boursiers sont imprévisibles! Cependant, il existe une façon de contrer l’imprévisible et nous allons vous la donner.

Voici cinq comportements fréquemment observés chez les investisseurs, pouvant être évités pour contrer les potentiels effets négatifs sur un portefeuille de placement.

1. La peur : Connaissez-vous le proverbe après la pluie le beau temps? Par exemple, si pendant la crise économique de 2008-2009 quelqu'un s’était défait de ses placements, il se serait privé, pas la même occasion, des impressionnants rendements qui ont suivi la crise...

2. La cupidité : On le sait tous, les marchés ont des hauts et des bas. Alors, il ne faut surtout pas miser sur le fait qu’ils vont continuer de monter sans interruption… Ça n’arrivera probablement pas!

3. L’aversion du risque : Pour faire fructifier nos investissements, il faut accepter une part de risque. D’ailleurs, pour s’enrichir avec un placement il faut que celui-ci procure un rendement au moins supérieur à l’inflation: Sans quoi le coût de la vie augmente davantage que son actif.

4. Le manque de diversification : Ne mettez pas tous vos œufs dans le même panier! On l'a déjà dit, mais on ne change pas d'avis là-dessus… Il faut bien répartir vos placements entre les différents secteurs économiques, marchés géographiques et catégories d'actifs. Surtout, il vous faut détenir un fond équilibré!

5. Se laisser influencer par des facteurs trompeurs : Votre oncle qui prédit la température actuelle, selon la direction des feuilles dans les arbres… Est-ce que vous leur confiriez votre avenir financier? Il faut faire attention aux ouïs dires en finances, il y a toujours beaucoup en jeux!

Enfin, comme le hasard fait bien les choses, votre planificatrice financière est toujours prête à vous conseiller et vous aider à ne pas tomber dans le vice des cinq péchés capitaux de l'investisseur!

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Le Dow Jones atteint un nouveau record!


Cette semaine le Dow Jones, l'un des plus vieux indice boursier du monde, à franchit la barre des 20,000 points. Il s'agit de la première fois depuis sa création, il y a 120 ans, que la bourse de New York atteint de tels sommets.

Cependant, qu'est-ce qui cause une telle augmentation du Dow Jones? En réalité, depuis l'élection du très controversé Donald Trump, l'enthousiasme des investisseurs ne fait qu'augmenter. Outre sa promesse électorale de construire un mur entre les États-Unis et le Mexique, le nouveau président américain songeait fortement à lever certaines contraintes bancaires favorisant ainsi l'augmentation des bénéfices des multinationales  financières américaines. 

Par contre, il ne faut pas oublier que le Dow Jones n'est constitué que de 30 entreprises et donc, ne peut être totalement représentatif de l'économie américaine. Enfin, l'objectif en bourse n'est peut-être pas entièrement d'atteindre des sommets, mais bien de les maintenir et ça, seul l'avenir peut nous le dire...

 

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Combien coûte un million de dollars?


Plus précisément: combien coûte une police d’assurance vie d’un million de dollars ? Vous pourriez être surpris. Et surpris aussi de découvrir qu’une telle somme n’est peut-être pas autant d’argent que l'on pourrait croire afin d'assurer la qualité de vie de vos proches lorsque vous ne serez plus là.

Un million! Le chiffre semble énorme. Par contre, si l’on réfléchit en termes d’assurance vie, cet énorme chiffre pourrait être juste assez pour maintenir le niveau de vie de vos enfants jusqu’à l’âge où ils pourront voler de leurs propres ailes. Pourquoi? Parce que nos revenus ont augmenté avec le temps mais que, depuis plusieurs années, ce n’est pas nécessairement le cas des rendements offerts par nos placements.

Heureusement pour nous, les protections ne sont plus aussi dispendieuses qu'auparavant, même celles d'un million de dollars! Voici un bon exemple.

 

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Au fond, un million, ce n’est peut-être plus autant d’argent que par le passé… mais ça pourrait demeurer un bon point de départ pour assurer votre sécurité financière!




Comment est-ce que les assureurs tarifient les fumeurs de marijuana?


Autrefois, les consommateurs de marijuana recevaient le même traitement que les amateurs de cigarettes de la part des assureurs. Maintenant, il n'est plus question de comparer cannabis et tabac: les fumeurs de marijuana n'ont donc plus à payer aussi cher que les fumeurs de cigarettes pour leur assurance vie.

Le tarif d'une prime fumeur peut s'élever de 40 à 150% plus élevé que celle d'une prime d'assurance pour non-fumeur.

Les compagnies ont évaluée les connaissances actuelles face aux effets de la marijuana pour appuyer le relâchement des règles à ce sujet en soutenant qu'il était sévère d'appliquer le même barème de règlements pour deux types de consommation différente.

Les assureurs considèrent donc que la marijuana serait moins nocive, à long terme pour la santé que la cigarette. Sans compter qu'il est possible de consommer le cannabis sous différente formes, sans nécessairement avoir besoin de la fumer.

Cependant, les plus grands consommateurs de marijuana pourraient se voir imposer une surprime. Il faut penser ici aux fervents consommateurs d'alcool, chez qui la prime d'assurances se voit augmentée puisque ce sont des habitudes de vie qui nuisent à la santé. Le même principe serait donc appliqué aux fumeurs de cannabis.

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Quand devrais-je commencer à épargner?


Il n'est jamais trop tôt pour commencer à épargner. Même que le temps fait fructifier davantage les intérêts et fait en sorte de diminuer l'effort d'éparge. D'ailleurs, commencer à économiser tôt ne signifie pas nécessairement d'investir de gros montants. Au contraire, épargner débute souvent avec de petits montants que l'on met de côté. 

Par exemple, une personne qui commence à épargner de façon hebdomadaire ou même mensuellement lorsqu'il a 20 ans une somme d'environ 50$, aura, au final, amassé une somme bien plus élevé qu'une personne ayant commencé à épargner à 30 ans. Et ce, même si la somme correspond au double de celle du premier investisseur. Laissez le temps jouer en votre faveur!

Et vous, à quelle âge vous avez commencé? Pour connaitre le rendement de vos investissements, allez essayer notre calculateur d'avantages de placement sur le site de Veilleux et fille! 

 http://www.veilleuxetfille.com/#section_5 

 

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Les finances : Un jeu d’enfant!


Qu’est-ce qu’on offre en cadeaux aux enfants cette année? Nos enfants, on les aime et ont les gâtes, mais une fois Noël arrivé, on ne sait plus quoi leurs offrir, ils ne manquent de rien! Alors, nous vous offrons quelques suggestions qui pourraient leur procurer des heures de plaisir ET développer leurs connaissances en matière de finances.

Monopoly : Le grand classique
Avec les années, le Monopoly a toujours gardé le même principe : Les joueurs achètent des terrains, font des transactions immobilières et tentent de faire croître leurs avoirs. De multiples versions sont disponibles sur le marché, tel que le «Electronic Banking» où l'on utilise  des cartes de crédit. #fini-tricherie 

Jour de Paye: Le jeu parfait pour apprendre à gérer son argent. L’objectif est (évidemment) de s’enrichir, tout en évitant de crouler sous les dettes. Il apprend aux jeunes joueurs à se fixer un budget.

Destin : Destin est une façon amusante de se projeter dans l’avenir et familiarise les enfants avec la notion du cycle de vie. Il décrit les étapes importantes de la vie et les joueurs doivent gérer les coûts liés avec ces étapes. 

 

Bien entendu, nous n’avons pas oublié nos tout petits qui n'auraient que faire de jouer avec des pions et des cartes. Il existe de multiples jeux consistant à développer l'autonomie financières de nos plus jeunes, tel que :

La caisse enregistreuse: Les enfants adorent faire comme papa et maman. Même en magasin, ils observent le moindre de leurs gestes. Alors, offrir une « mini-caisse » est une bonne façon de montrer aux jeunes enfants la valeur de l'argent. Ils « magasinent » et passent à la caisse... C'est amusant être grand!

Le petit cochon (ou la tirelire): Pour les petits ou pour les grands, le cochon est une façon très efficace pour apprendre l'économie. Aidez-les à fixer des objectifs et une fois le montant atteint, proposez lui d'économiser encore plus pour une plus grosse récompense... Vous en ferez de vrai économes! 

Et vous, plus jeune... Aviez-vous ces jeux à la maison?

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Les règles hypothécaire ont changé... Et mes projets?


En octobre dernier, le ministre des Finances du Canada a exposé un changement majeur concernant les règles de financement hypothécaire. Sans équivoque, cet ébranlement affectera grandement le processus d’achat d’une nouvelle maison. D'ailleurs, nombreux sont mécontent de la nouvelle règlementation, puisqu'ils doivent opter pour une maison moins cher, voir repousser leurs projets d'avenir. Par contre, il est important de connaitre la raison de ses changements pour comprendre leur nécessité: Ils résultent, entre autre, des faibles taux d’intérêts et de l’endettement sur le marché du logement.

Ainsi, depuis le 17 octobre 2016, les nouvelles exigences sont en vigueurs. L'objectif premier de ces modifications vise à réduire le niveau d'endettement des canadiens. Le gouvernement veut s'assurer qu'aucun risque relié à la stabilité financière ne se présente à la suite d’une éventuelle hausse des taux d’intérêts ou d’un potentiel ralentissement du marché du logement.

De là l’importance de faire affaire avec un planificateur financier afin d’établir les versements hypothécaire en fonction du budget du client et non selon la capacité d’emprunt de celui-ci.

Pour plus d’information sur les nouvelles règles de financement hypothécaire n’hésitez pas à me contacter!

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Combien font-ils donc d'argent là-dessus?


Est-ce que vous vous êtes déjà demandé au moment de faire une dépense… Au juste, qui fait de l’argent avec mon achat? Et surtout, combien? Consultez notre diagramme pour mieux comprendre qui semble avoir la meilleure position dans le milieu des affaires...

Alors, qui s’enrichie encore plus?

 

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Les impacts du planificateur financier!


«Vaut-il la peine de faire affaire avec un conseiller – ou vaut-il mieux prendre en charge soi-même ses finances?» De nos jours, de nombreux services sont offert sur Internet, mais qu’en est-il des résultats au niveau financier?

Une étude effectuée au Centre interuniversitaire en analyse des organisations (CIRANO), vient apporter un éclairage intéressant sur ce dilemme. Pour résumer, les ménages qui profitent de conseils financiers auraient, en moyenne, deux fois plus d’actifs et un taux d’épargne deux fois plus élevé, et seraient beaucoup plus optimistes quant à leur avenir.

Et vous, qui s’occupe de vos finances?

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J'ai un problème anxieux... Suis-je assurable?


Tout le monde éprouve de l'anxiété un jour ou l'autre. Cependant, chez certaine personnes l'anxiété persiste au point d'interférer avec leur capacité de s'occuper des problèmes quotidiens et perturbe leur vie. Le problème anxieux est une maladie mentale de plus en plus présente dans notre société qui, parfois, crée des problèmes au-delà de ceux causés par la maladie (Comme si on n'en avait pas déjà assez...) Notamment, dans le domaine de l'assurance.

D'abord, nous ne devons pas oublier que chaque personne est différente, donc, nécessairement la maladie l'est aussi. D'ailleurs, chaque compagnie d'assurances traite la règlementation, en ce qui concerne les problèmes anxieux, de façon distincte.

Généralement, il existe 4 types de situations possibles lorsqu'une personne atteinte d'un problème anxieux demande une assurance:

L'acceptation standard: Le problème anxieux est stable, puisque un traitement est suivi. Cette stabilité, dont la durabilité a été prouvée, rend éligible au programme.

L'acceptation avec exclusion: Vous êtes assurable au même titre qu'une acceptation standard, cependant une exclusion s'applique quant à la cause du décès. Par exemple, une exclusion s'appliquerait si le décès est résultat du problème anxieux.

L'acceptation avec surprime: Dans cette situation la personne atteinte d'un problème anxieux est éligible à l'assurance, mais se voit attribué une surprime. Alors, il paie plus cher.

Le refus: La personne ayant de problèmes anxieux se voit refuser l'assurance, il n'est donc pas assurable.

Enfin, il est important de s'assurer de ne pas faire de fausse déclarations aux assurances, mieux vaut tout dire que de faire des cachoteries!

 

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Votre portefeuille est-il vraiment diversifié?


« Ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier ». Le proverbe est bien connu. Mais en matière de placements, au juste, qu’est-ce qu’un panier ?

En réalité, la diversification de placements consiste à choisir une combinaison de placements distincts dans le but de réduire le risque lié à votre portefeuille et ce, sans sacrifier le rendement potentiel.


Par exemple, si vous possédez un seul titre et qu’il affiche un mauvais rendement, vous pourriez tout perdre votre argent. En tant que planificateurs financiers, notre rôle est de vous conseiller et d’éviter que de telles erreurs soient commises. Ainsi, si vous possédez un portefeuille diversifié comprenant plusieurs types de placements, il est beaucoup moins probable que tous vos placements affichent un mauvais rendement en même temps.


Et vous, vos œufs sont-ils tous dans le même panier?

 

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Vous êtes actionnaire d'une entreprise? Voilà!


Depuis 1982, le régime fiscal de l’assurance vie n’a pas été modifié. Par contre, dès janvier 2017, des changements considérables seront appliqués au niveau fiscal par le gouvernement.


En bref, quand une compagnie est bénéficiaire d’un contrat d’assurances vie et qu’un décès survient, le montant assuré lorsqu’il sort du compte de dividende en capital (CDC) pourrait être imposable, alors qu’il n’y a aucun impôt de prélevé en date d’aujourd’hui. Ainsi, la différence est marquante pour des actionnaires.


Bien entendu, les contrats établis avant le 1er janvier 2017 ne seront pas assujettis aux nouvelles règlementations. Ainsi, une transformation de contrat ou d’un ajout de couverture pourrait être pertinente d’être fait avant les changements. D’où l’importance d’agir maintenant. N’oubliez pas qu’il peut avoir un délai de quelques semaines, voire quelques mois avant l’émission d’un contrat.


N’hésitez pas à nous contacter pour de plus amples informations!

 

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